Files d’attente prolongées pour certains, parenthèse enchantée pour d’autres. La venue de JD Vance à Disneyland a entraîné une fermeture partielle du parc pendant ses vacances. L’épisode, raconté avec un ton léger, met en scène un vice-président en père de famille, attaché à la sécurité, mais aussi aux attractions. L’essentiel tient à ce contraste, souvent commenté, entre protocole et plaisir simple.
Sécurité maximale autour de JD Vance, fermeture partielle et flux des visiteurs
Mi-juillet, le parc californien a accueilli le vice-président et sa famille. Pour la sécurité, les zones sur leur trajet ont été brièvement fermées, tandis que d’autres visiteurs patientaient. Selon bfmtv.com, le protocole a modulé la circulation car la protection d’une personnalité impose des couloirs dédiés, sans annuler l’esprit familial recherché.
Dans ce cadre, certaines allées paraissaient vides afin d’anticiper les mouvements. Des équipes du parc guidaient le cortège, puis, une fois la zone sécurisée, le flux reprenait. L’accès privilégié à une île, raconté comme un instant unique par JD Vance, illustre un protocole strict pensé pour réduire les risques réels.
Cette organisation a eu un coût pour l’expérience des autres visiteurs, car des passages ont été bloqués et des files se sont allongées. Le dispositif, habituel pour un haut responsable, vise pourtant la fluidité globale, puisqu’il concentre l’impact dans un périmètre limité et maintient l’animation dans le reste du parc.
Dans le podcast de Katie Miller, JD Vance détaille sa journée
Mardi 12 août, dans le podcast de Katie Miller, proche conseillère de Donald Trump, le vice-président a repris le fil des événements. Il a détaillé la logique du protocole et son rôle de parent, tandis que la parole, portée par JD Vance, assumait l’équilibre entre sécurité, plaisir et transparence.
Selon lui, il a reconnu n’y être jamais allé et a trouvé l’endroit génial, car les attractions plaisent aux enfants comme aux adultes. Il a évoqué l’île réservée quelques instants pour sa famille, puis a présenté des excuses pour les longues files, geste qui a nuancé les critiques sur le dispositif initial.
Question sensations, il a loué Tiana’s Bayou Adventure, puis il a moins goûté Space Mountain, le roller coaster lui ayant donné une légère nausée. Ce contraste a humanisé la séquence, car il expose une préférence simple et un rapport spontané aux manèges.
Entre vidéos virales et vie quotidienne, un récit qui dédramatise
Le 12 juillet, des visiteurs ont filmé la famille dans des zones parfois désertées pour leur passage. Le cortège, encadré par plusieurs dizaines d’agents de sécurité et par des employés dédiés, a suscité des réactions opposées : des huées, mais aussi des applaudissements et des marques de soutien autour du groupe.
Une vidéo a surtout circulé : on y voit le père courir après ses enfants, tandis que des commentaires moquent sa foulée. Il a répondu avec humour en expliquant qu’il jouait à l’ogre, ne cherchant pas la vitesse. JD Vance a recentré sur la scène familiale, du jour, souriante et simple.
L’entretien, d’environ quarante-cinq minutes, a élargi la focale. Il a évoqué ses meilleures blagues de papa, ses recherches récentes avec une IA, ses séries préférées, ainsi que le choix entre sauna et bain froid. Ces apartés situent le personnage dans le quotidien et apaisent la controverse initiale chez certains.
Ce que retiennent les visiteurs et l’entourage, au-delà de la polémique apparente
Le souvenir partagé tient autant à la contrainte qu’au rire. La fermeture partielle a pesé sur certains, cependant la journée a livré des instants simples. En assumant ses choix, JD Vance soigne une image plus directe. Cette scène mêle débat et normalité, donc elle restera commentée, sans effacer l’attachement des familles au parc.