Le jeu change de rythme, et le public s’interroge. Aux commandes depuis un an, Théo Curin voit son rendez-vous du week-end disparaître, tandis que la chaîne ajuste sa grille. La décision étonne, car Slam s’était installé tous les jours. L’explication tombe, sobre et directe, et elle touche au nerf sensible. Derrière ce virage, une logique d’économies et une confiance maintenue.
La production clarifie l’avenir de Théo Curin
Arrivé à la présentation de Slam à la rentrée 2024, en relais de Cyril Féraud, Théo Curin s’impose. Selon public.fr, le public a vite pris ses repères et la mécanique a tenu. L’offre de jeux de France Télévisions reste large, ce qui impose des choix.
À partir du 6 septembre, un changement notable s’impose. Diffusé du lundi au dimanche, le jeu ne sera plus programmé le week-end. La case se vide pour Slam, tandis que la grille dominicale s’ajuste. Les fidèles garderont le rendez-vous en semaine, sans double dose.
La production s’explique au micro de Télé-Loisirs. Motif affiché : des économies. Deux numéros en moins par semaine pour Slam, cinq pour Questions pour un champion. En miroir, ce dernier reste le week-end, après sa déprogrammation en semaine. La décision émane de France Télévisions, et non du producteur.
Déprogrammation le week-end et nouvelle stratégie horaire
Simone Harari Baulieu assume la ligne fixée par la chaîne. Elle dit qu’elle aurait souhaité poursuivre le rythme, car la dynamique tenait. La contrainte budgétaire impose un effort partagé, et l’équipe l’intègre.
L’horaire bascule à 18 heures, au lieu de 17 h 20. Le terrain concurrentiel change, car le public de fin d’après-midi varie. Le défi grandit pour Théo Curin, tandis que la chaîne maintient sa confiance envers Slam.
Les jeux télé évoluent au même moment, ce qui bouscule les marques. Tout le monde a son mot à dire a fait ses adieux avec un Olivier Minne ému saluant Sidonie Bonnec. Le week-end prochain, l’animateur vivra son dernier Fort Boyard après plus de vingt ans.
France Télévisions acte, Théo Curin poursuit l’aventure
Chez les fidèles, la surprise précède l’ajustement. Dès le 6 septembre, Slam se concentre sur les jours ouvrés. La chaîne cherche un équilibre durable entre contraintes financières et présence quotidienne.
L’effet sur la popularité reste incertain et dépendra des habitudes retrouvées. La case de 18 heures attire d’autres publics, ce qui modifie la tension. Le pari demeure mesuré, car Slam possède une base fidèle et active.
La production promet une adaptation pragmatique pour tenir la cadence. Le rythme, les mécanismes et la mise en scène évolueront si besoin, sans perdre la clarté. Ce cap doit permettre à Théo Curin de garder le lien avec les joueurs.
Ce changement rebat les cartes pour l’équilibre des jeux télé
Le retrait du week-end, décidé pour des raisons d’économie, accompagne un pari sur la case de 18 heures. La chaîne soutient la marque, car le déplacement s’assume sans détour. Dans ce cadre, Théo Curin incarne la continuité. Le public jugera, au fil des audiences, l’ampleur de l’effet réel. Reste à mesurer l’impact de ce virage, entre nouveaux réflexes et attentes des fidèles.