Mes investissements locatifs me rapportent 8500 euros par mois : j’ai abandonné mon CDI

Un parcours immobilier qui transforme un salaire en revenus stables sans promesses irréalistes ni raccourcis

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Quand un revenu alternatif commence à rivaliser avec un salaire fixe, il bouleverse tout un quotidien. C’est exactement ce qui s’est produit avec ces investissements locatifs, capables de transformer une carrière stable en une liberté choisie. L’histoire illustre comment des décisions calculées et une vision claire peuvent réorienter une vie, en faisant émerger un chemin inattendu mais assumé.

Choix, financement et travaux pour des investissements locatifs raisonnés

En 2019, à 35 ans, un employé de banque gagne moins de 2 000 € et possède un peu plus de 10 000 € d’épargne. Un crédit sur sa résidence existe déjà, puis passe à 25 ans pour alléger la mensualité, affirme capital.fr. L’agglomération nancéienne affiche 2 407 € le mètre carré en ancien selon SeLoger, ce qui rend l’achat possible.

Il cible de petits studios d’environ 12 m² à 30 000 € chacun. Les biens exigent des travaux, notamment d’efficacité énergétique, la loi Climat et résilience limitant les passoires thermiques. Peu bricoleur, il confie le chantier à un artisan. La rénovation coûte 7 000 à 8 000 € par lot, soit environ 40 000 € au total après remise en état.

La décoration fait la différence : ambiance industrielle ou scandinave, équipements fiables, dont plaques à induction. La qualité perçue améliore l’attractivité et soutient le loyer. Les choix restent sobres, orientés durabilité. L’approche privilégie des coûts contrôlés et un rendement visible. Ce trio : prix d’achat mesuré, travaux ciblés, présentation soignée, soutient la suite.

Rentabilité, fiscalité et cap sur l’autonomie

Les studios se louent meublés entre 350 € et 450 € hors charges. Le statut LMNP au réel permet l’amortissement : une part du local, du mobilier et des travaux s’impute sur les revenus. Cette mécanique neutralise l’impôt plusieurs années. Depuis 2019, aucune imposition sur ces loyers n’apparaît, et l’effet va encore durer.

Le parc grandit : douze appartements, dont des F3 et F4, et deux garages. Les encaissements bruts atteignent 8 500 € par mois. Les échéances de crédits cumulent 4 500 € mensuels ; la taxe foncière pèse environ 400 € par mois. Le net ressort alors entre 3 000 € et 3 500 € : un niveau équivalent au salaire bancaire.

Avec ce coussin, le choix s’impose : quitter le CDI, devenir conseiller en gestion de patrimoine, et gérer les biens. Le temps libéré améliore encore l’efficacité. Chaque décision vise une trajectoire autonome. Les investissements locatifs s’ancrent dans une logique simple : protéger le cash-flow, lisser les charges, consolider un patrimoine qui travaille seul.

Gestion, marché nancéien et investissements locatifs sans vacance

Tous les biens se situent en banlieue de Nancy. Deux se louent en Airbnb. La conciergerie a été testée, puis écartée, car elle grignote la marge. Le ménage passe par une intervenante dédiée ou par le propriétaire. Les visites longues durées restent gérées en direct. L’organisation reste courte, efficace, centrée sur l’essentiel.

La rentabilité observée varie de 8 % à 15 % selon les lots. À Nancy, l’encadrement des loyers n’existe pas, la ville n’étant pas en zone tendue. La vacance demeure faible. Airbnb continue, sans durcissement local marqué. Le flux de voyageurs vient de Belgique, des Pays-Bas et d’Allemagne, mais aussi des familles en visite.

La clientèle professionnelle complète l’occupation, avec des commerciaux et techniciens en mission. Le risque d’impayés reste rares, mais traité : la garantie Visale a remboursé trois mois d’arriérés lors d’un unique incident. Cette couverture sécurise la trésorerie. Le modèle s’appuie sur des règles simples : rigueur, contrôle direct, produits lisibles, promesse tenue.

Ce parcours inspire et éclaire sans masquer les réalités

Grandir pas à pas, rester lucide sur les charges, protéger la fiscalité, et veiller aux standards techniques : la méthode tient parce qu’elle s’aligne sur le terrain. Le chiffre d’affaires brut ne suffit pas : la discipline des coûts prime. Quand les priorités restent claires, les investissements locatifs deviennent un vrai levier de vie.

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