Le sujet s’invite dans nos tasses et dans les esprits. Les autorités alertent sur un thé très prisé, car des substances classées cancérigènes y ont été détectées. L’information surprend, pourtant elle appelle à agir sans tarder. Voici les faits essentiels, les risques identifiés, et les bons réflexes pour éviter l’exposition, tout en restant attentif aux informations officielles. Le rappel concerne un produit bien connu du public.
Alerte officielle sur un thé retiré et identifié clairement
Selon la DGCCRF, un rappel vise la Green Tea Box de la marque FITNE. L’alerte figure sur RappelConso et impose un retrait immédiat. Les boîtes comportent 6 x 39,75 g et portent une DDM au 28 octobre 2025 ou au 21 octobre 2025. La distribution concernait surtout des magasins d’articles exotiques. Ce thé figure désormais parmi les références à éviter.
La présence d’huiles minérales a motivé la décision. Deux familles sont en cause, les MOSH et les MOAH. Les MOSH s’accumulent dans l’organisme et interrogent le long terme. Les MOAH renferment des composés à potentiel cancérigène. L’EFSA renforce les contrôles sur emballages et procédés, car des contaminations surviennent.
L’administration insiste sur la vigilance des consommateurs, car elle prévient des incidents de santé publique liés aux contaminants. Pour ce dossier, ne consommez pas le produit, informez votre entourage, puis suivez les informations officielles. Le signalement facilite les retraits, tandis que la traçabilité aide les contrôleurs et limite la circulation des lots.
Pourquoi ce thé expose à un risque réel pour la santé
Les MOSH, ou hydrocarbures saturés d’huile minérale, s’accumulent dans le foie, la rate et les ganglions lymphatiques. Leur impact exact reste encore discuté, car l’exposition varie et les profils diffèrent. Le risque grandit, tandis que la répétition des prises entretient l’inquiétude autour de ce thé.
Les MOAH, pour leur part, regroupent des composés aromatiques reconnus pour leur potentiel cancérigène. Même à faible dose, l’ingestion répétée augmente la probabilité d’effets graves. Les autorités rappellent que la prudence limite l’exposition et qu’un suivi strict des lots réduit la fenêtre de risque.
Face à ces constats, l’EFSA a durci les exigences sur les matériaux et les procédés. Les contrôles visent l’emballage, la fabrication et les flux logistiques. Des produits échappent parfois au filet, car la chaîne reste complexe. Les alertes publiques corrigent alors rapidement la trajectoire et protègent les consommateurs.
Que faire maintenant pour se protéger sans délai
Ne buvez pas ce thé signalé. Rapportez-le au point de vente pour obtenir un remboursement, car la procédure l’autorise. Si le retour s’avère impossible, détruisez le produit en respectant les consignes locales de gestion des déchets. Gardez toute preuve d’achat pour accélérer la prise en charge.
Consultez RappelConso afin de vérifier la fiche dédiée et suivre les mises à jour. Notez les références, puis comparez les dates de durabilité minimale indiquées. Le suivi officiel précise les lots concernés, tandis que les avis aux consommateurs détaillent les étapes à respecter pour sécuriser la démarche.
Ces rappels, parfois anxiogènes, jouent un rôle décisif dans la protection de la santé publique. Ils stoppent la commercialisation, assainissent la distribution et coupent court aux expositions. Les contrôles qui suivent corrigent les pratiques à risque. Votre réactivité, enfin, accélère la remontée d’informations et renforce la vigilance collective.
Ce qu’il faut retenir pour éviter un risque avéré
L’alerte des autorités s’appuie sur des analyses solides et un principe de précaution assumé. Ne consommez pas ce thé, rapportez-le pour remboursement, puis vérifiez régulièrement RappelConso. Les MOSH et MOAH justifient des contrôles stricts, tandis que la traçabilité réduit l’exposition. La prudence protège chacun et consolide, pas à pas, la sécurité sanitaire.