La justice a tranché pour Chantal Goya et son mari Jean-Jacques Debout : ils doivent payer leur dette de plusieurs millions d’euros

Une décision qui pèse, un appel engagé, une carrière qui continue sans baisser le rideau

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Un verdict tombe et rappelle que les chiffres ont la mémoire longue. Chantal Goya et Jean-Jacques Debout affrontent une créance lourde, née d’années d’arbitrages financiers. La décision s’applique dès maintenant, tandis qu’un appel est lancé. Le couple revendique sa bonne foi. La procédure suit son cours, entre échéances bancaires, garanties cédées et tournée qui continue à remplir les salles.

Décision exécutoire et calendrier immédiat pour Chantal Goya

Le 19 août 2025, d’après purepeople.com, le tribunal de Paris condamne le couple. Il doit verser 2,18 millions d’euros au Crédit municipal de Bordeaux. La décision est exécutoire. L’appel n’en suspend pas l’effet. L’information ressort le 5 septembre 2025 et replace la procédure au centre d’un dossier financier déjà longtemps disputé dans la presse régionale aujourd’hui.

À l’origine, un prêt de 2,215 millions d’euros sur cinq ans devait éponger 1,65 million d’euros dus au Trésor public. Ce financement articulait remboursement, intérêts et garanties. Il visait un rééchelonnement rapide. La mécanique s’est grippée, puis le capital restant dû s’est imposé, jusqu’à transformer une solution transitoire en obligation lourde pérenne.

Dans ce contexte, Chantal Goya poursuit sa tournée, pendant que l’exécution s’organise. Les avocats gèrent les actes, les notifications et les négociations éventuelles. La chronologie se précise, entre voies de recours et impératifs de paiement. Chaque étape ajoute une contrainte financière mesurable, et nourrit l’attention médiatique autour de cette décision.

Prêt contesté, garanties et responsabilités autour de Chantal Goya

Le prêt était adossé aux droits Sacem du compositeur, donnés en gage pour sécuriser le crédit. L’organisme prêteur est accusé d’avoir accepté des prêts jugés trop risqués. La ligne de partage se dessine entre évaluation du risque et conformité des procédures.

Le couple affirme avoir été mal informé des risques liés à l’emprunt. Le tribunal relève l’appui d’un courtier en financement et d’un spécialiste en droit économique. Leur avocate invoque la vie privée et refuse de commenter. Autorité de tutelle de la banque, ville garde le silence jusqu’au réexamen du cas.

Le 6 septembre 2025, un droit de réponse précise que la décision ne vaut pas jugement définitif. Des éléments seraient contestables et le seront en appel, assurent-ils. Chantal Goya et Jean-Jacques Debout soulignent leur honnêteté, leur sincérité et les préjudices subis, tant personnels que financiers, pendant que le contentieux suit son cours.

Chronologie fiscale, patrimoine et impact sur l’image publique

Sa carrière demeure active : tournée Sur la route enchantée, public fidèle, énergie intacte à 83 ans. Elle est apparue dans Mask Singer sous le costume Pop-corn. La mascotte de Pandi Panda a été dérobée récemment, puis remplacée. Malgré ces secousses, l’artiste garde le cap et reste sur scène avec constance.

Le dossier s’inscrit dans une longue histoire : litiges fiscaux cités en 1985, 1988, 1989, 1994, 1995 et 2007. Le couple, uni depuis plus de soixante ans, a possédé vingt-quatre maisons, dont le château médiéval de Saint-Loup. Ces jalons éclairent la trajectoire, entre succès scéniques, patrimoine, ventes et arbitrages répétés successifs.

À court terme, la dette influence l’image et la trésorerie. Les priorités se concentrent sur l’exécution, la négociation et les flux. Chantal Goya avance, portée par un public transgénérationnel. Chaque échéance pourra influer sur la tournée, sans l’arrêter. Le temps judiciaire décidera, tandis que la scène continue d’appeler son nom.

Ce qui se joue maintenant pour leur avenir financier

Entre exécution et appel, la prochaine phase dira si la dette se réduit, se rééchelonne ou s’alourdit. Chantal Goya et Jean-Jacques Debout privilégient la scène, tout en gérant le contentieux. Les montants, les garanties et le calendrier guideront les décisions. Le cap consiste à préserver l’activité, la réputation et la sérénité, pendant que la justice conclut ce chapitre ouvert depuis longtemps.

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