La fille du roi de Thaïlande annoncée morte : deux ans après, la famille royale rompt enfin le silence

Les repères essentiels sont réunis, pour comprendre la portée de ce moment

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Une annonce bouleverse aujourd’hui la monarchie thaïlandaise. La fille du roi de Thaïlande vient d’être déclarée morte, un événement qui frappe autant le pays que la scène internationale. Deux ans se sont écoulés depuis les premières rumeurs et, pour la première fois, la famille royale met fin au silence. Une révélation rare, qui attire l’attention du monde entier.

Dernière alerte médicale sur la fille du roi de Thaïlande

Le 15 décembre 2022, elle s’effondre lors d’un entraînement canin militaire à Nakhon Ratchasima, au nord de Bangkok. Transférée à l’hôpital Chulalongkorn, elle reste dans le coma, raconte gala.fr. En janvier 2023, des sources la disent en mort cérébrale. La famille se tait ensuite. Le 15 août 2025, le palais parle.

Le palais évoque une infection sanguine grave et des soins intensifs. Des équipements soutiennent poumons et reins. La semaine passée, l’équipe a donné des antibiotiques. Des médicaments pour la tension agissent aussi. Elle reste surveillée en continu. Reuters relaie ces points. Bunte parle d’une septicémie potentiellement mortelle, prudence donc.

Âgée de 46 ans, surnommée « Princesse Bha », elle est l’aînée du roi Rama X. Le message vise à couper court aux rumeurs et à cadrer les informations. Pour rappel, la fille du roi de Thaïlande n’a jamais quitté le coma depuis 2022, détail central et vérifié. Le cadre officiel compte.

Parcours public et responsabilités de la fille du roi de Thaïlande

Très engagée, elle œuvre pour la justice et pour des détenues mieux traitées. Elle travaille avec les Nations Unies sur ces sujets. Diplomate, elle sert comme ambassadrice en Autriche de 2012 à 2014. Ce passage nourrit son expérience d’État, son réseau, puis ancre sa visibilité internationale. Le crédit acquis demeure.

Un an avant le drame, elle reçoit un poste jugé très stratégique. Le signal est fort. Depuis début 2021, elle dirige aussi le service de protection rapprochée du roi. Cette mission très sensible confirme sa place au cœur du dispositif monarchique, et renforce sa stature publique. Le rôle reste central.

Le roi Vajiralongkorn a 73 ans et sept enfants. Il n’a pas désigné de successeur. Les règles thaïlandaises favorisaient les hommes. Dans l’état actuel, la princesse, déclarée en mort cérébrale dès janvier 2023, ne peut prétendre au trône. La fille du roi de Thaïlande demeure hors course institutionnelle. À regret.

Silences, rumeurs et attentes autour du palais

Longtemps, le palais n’a rien dit depuis 2023. Le mutisme a nourri des bruits, parfois lourds. Le message du 15 août entend calmer cette spirale. Il fixe des faits médicaux et évite le détail superflu. Reuters souligne la prudence du ton, et rappelle la gravité du tableau. Rien n’est tranché.

Au-delà du protocole, il y a une famille qui s’inquiète. Les médecins veillent sans relâche. Les équipements soutiennent les organes vitaux, et l’espoir s’accroche malgré tout. Les partisans respectent la discrétion. Les mots choisis restent mesurés, car la santé impose pudeur, rigueur, et un rythme dicté par l’hôpital.

Dans le pays, l’institution avance et tient son calendrier. Les dossiers d’État ne s’arrêtent pas, tandis que le trône reste sans héritier désigné. La communication ajuste son pas. La fille du roi de Thaïlande reçoit, elle, des soins lourds. La suite dépendra des prochains bulletins et des médecins. Reste patience.

Repères essentiels pour comprendre un moment royal délicat

Les faits sont posés, le contexte éclairé, et la pudeur respectée. La santé guide chaque décision, tandis que l’institution préserve son cap. Les soignants agissent, la communication suit, et le pays observe. La fille du roi de Thaïlande demeure au cœur des attentions, avec des soins constants et une surveillance serrée. L’histoire s’écrit par étapes, sans excès, au rythme du réel.

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