Symbole populaire, la Citroën 2CV revient sans tapage, avec un clin d’œil soigné et très actuel. Basée sur le Berlingo, la Fourgonette Caselani marie style, praticité et authenticité, sans nostalgie forcée ni effets inutiles. Le projet va droit au but, garde le mystère, et promet un objet rare, facile à vivre, pensé pour la route, l’image, et le quotidien exigeant.
Citroën 2CV un hommage officiel assumé et précis
Sous le crayon de David Obendorfer, selon passionandcar.fr, la conversion prend forme avec soin et constance. Le Citroën Style Center valide les lignes, pour assurer la cohérence et la légitimité. La fabrication reste artisanale, avec des pièces de carrosserie dédiées. La série est limitée à 200 unités, ce qui renforce la valeur.
Ce n’est pas un simple rendu, mais un modèle réel et abouti. Le cahier des charges est partagé entre Caselani, Obendorfer et Citroën, pour baliser chaque étape. Les ajustements visent un rendu homogène, sobre et durable. Les amoureux du patrimoine y voient une aura précise, les artisans une image forte.
Le projet assume une niche claire, avec un cap mesuré et stable. La Citroën 2CV sert d’étendard, sans pastiche ni excès, pour garder l’esprit. L’ergonomie soutient le quotidien, tandis que la finition ajoute de la tenue durable et rassure. On achète un design d’exception arrimé à un ludospace pratique, vraiment.
Citroën 2CV réinterprétée avec des codes iconiques fidèles
Le trait demeure évocateur, jamais mimétique, et cela change tout. Des phares ronds coiffent les ailes avec finesse et malice affirmée. Le capot est dissocié, ce qui souligne la face et ses volumes clairs. Des flancs cannelés filent jusqu’aux ouvrants arrière, tandis que des feux ronds ferment la silhouette nette.
Les emboutis striés renforcent la lecture historique, sans lourdeur ni surcharge inutile. Des panneaux spécifiques s’alignent avec précision, afin d’éviter les ruptures visibles. Le résultat vise la justesse, pas la copie servile ou nostalgique. La Citroën 2CV renaît ici dans une peau moderne, à l’échelle d’un véhicule actuel et polyvalent.
La qualité perçue dépend d’ajustements bien tenus et vérifiés ensemble. La peinture souligne les volumes, tandis que les jeux restent soignés et réguliers. L’ensemble raconte une histoire claire, utile et sincère, sans artifices superflus. Les regards se posent, puis restent, car le dessin respire et parle au bon public averti.
Base technique polyvalente et usages clairement ciblés
La conversion s’adapte à toute la galaxie Berlingo, ce qui compte beaucoup. Empattement court ou long, VP ou utilitaire, cabine simple ou approfondie, tout convient. Les qualités d’origine restent en place, dont modularité et volume utiles. La Citroën 2CV sert de fil rouge, tandis que l’usage reste simple et direct.
Les moteurs couvrent le besoin réel des professionnels exigeants. Le 1.5 diesel concentre la demande grâce au coût d’usage et à l’autonomie. La variante électrique ouvre les portes de la ville et facilite l’accès réglementaire. Chacun choisit selon ses trajets, ses budgets, ses horaires, ainsi que ses contraintes de recharge.
Les prix confirment un positionnement premium assumé. Dès 38 290 € HT, puis 40 000 à 43 000 € pour les diesels. L’électrique longue atteint 52 480 € HT. En France, TVA 20 %, comptez environ 45 950 €, 48 000 à 51 600 €, et 62 980 € TTC.
Ce clin d’œil moderne gagne en sens et en présence
Cette proposition conjugue image et usage, sans excès ni posture. La Citroën 2CV sert de repère affectif, tandis que le Berlingo assure la mission avec sérieux. La série limitée à 200 unités crée une rareté assumée, et la fabrication dédiée ajoute de la tenue. On retient une pièce singulière, utile, prête à travailler, rayonnante pour une marque, un artisan, ou un collectionneur.