Ils réservent une villa à 5 880 euros pour leurs vacances : le propriétaire annonce qu’elle est squattée juste avant leur arrivée

Une situation hors norme échappe à toute explication évidente pour les vacanciers

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La veille du départ, après avoir versé 5 880 euros, un squatteur empêche l’accès à la villa promise, transformant l’optimisme en malaise. Les bagages prêts, l’incident surgit sans crier gare et fait vaciller toute confiance. Rapidement, l’urgence s’impose pour chasser le doute et préserver l’évasion prévue, avant que la découverte sur place ne révèle la vérité. Le contraste brutal entre paiement anticipé et obstacle soudain renforce l’impression d’un scénario insolite.

Comment un squatteur a surpris toute une famille belge

Ils ont repéré la villa à Hossegor dès octobre précédent, attirés par une vue entre lac et océan, raconte midilibre.fr. L’annonce sur Gens de confiance a séduit cette famille belge, qui a confirmé la réservation plusieurs mois avant la saison. Un acompte initial a scellé l’accord lors de la signature du contrat.

Au total, ils ont versé 5 880 euros en deux acomptes, illustrant leur confiance. Pourtant, la veille du départ, un message a évoqué une présence illégale. Ce mot « squatteur » a suffi pour semer l’inquiétude et pousser le groupe à remettre en question chaque détail de l’offre. Les réponses tardives du propriétaire ont ensuite renforcé cette crainte, accentuant le sentiment de doute.

Sur place, une BMW garée devant la porte et le son d’une radio ont surpris les Verhoeven. Convaincus qu’il ne s’agissait pas d’une occupation illégale, ils ont porté plainte pour escroquerie et mandaté une avocate afin d’envoyer une mise en demeure.

Les explications du propriétaire autour du squatteur et des associés indociles

Contacté par Sud Ouest, le propriétaire assure avoir hérité d’un imbroglio différent. Selon lui, la menace de squatteur ne correspond pas à la réalité : la maison serait investie par plusieurs associés de la société civile immobilière. Ils auraient pris place dans le bien malgré la réservation initiale.

Ces associés ont planté leur marque sur la villa puis ont refusé de libérer les lieux, provoquant un blocage complet. Le montant avancé demeure gelé, accentuant l’inquiétude. Cette impasse interne compromet toute résolution rapide, contraignant chacun à attendre une issue juridique ou un accord inattendu.

Du côté de la plateforme Gens de confiance, on parle d’un cas inédit. Un administrateur souligne n’avoir jamais rencontré une situation comparable, qualifiant ce litige « unique ». À ce jour, aucune suite ne semble programmée, laissant familles et propriétaires dans l’attente.

Un délai légal impose une réponse ou une action judiciaire

Selon son avocate, la famille bénéficie d’une protection légale précise : sans remboursement dans un délai de huit à quinze jours, une assignation devant le tribunal judiciaire peut être lancée. Cette disposition oblige la SCI à agir rapidement, sinon l’affaire se prolongera devant les juges.

Alors que l’histoire de squatteur a mis le dossier en lumière, la famille attend désormais une réponse concrète. Chacun redoute une nouvelle surprise et garde espoir en un dénouement rapide. Le silence persistant alimente l’angoisse et pousse à préparer des documents supplémentaires.

Au-delà des délais, l’issue dépendra d’une audience éventuelle. Le tribunal judiciaire examinera l’ensemble des contrats et témoignages pour statuer. En parallèle, la SCI pourrait proposer une solution amiable pour éviter une publicité négative et réduire les coûts d’une procédure longue. Cette issue judiciaire marquera l’aboutissement d’une saga éprouvante. Rien n’est encore acquis.

Un espoir de résolution bientôt à l’horizon pour tous

Les prochains jours détermineront l’orientation de cette affaire. Famille et loueur scruteront l’issue du délai légal, espérant un geste rapide ou une médiation apaisée. Si les remboursements basculent en faveur des Verhoeven, la procédure s’achèvera, sinon un face-à-face devant le tribunal fixera le dénouement. Dans tous les cas, une issue claire s’impose pour tourner la page. Ce suspense juridique reste au centre des préoccupations de chacun, entre nervosité et confiance.

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