Un homme a pénétré à pied la plaine des bisons au Wow Safari de Peaugres. Le 25 août, à 15 h30, des visiteurs ont donné l’alerte. Il portait un tournevis et a dit vouloir suivre un stage de survie au milieu des animaux. Les bisons pèsent jusqu’à 1 000 kg. La direction a déclenché le protocole.
Un stage de survie improvisé au cœur des bisons
Selon ladepeche.fr, des visiteurs du safari en voiture ont repéré un piéton dans la plaine des bisons et ont prévenu la direction. La scène a surpris, car la zone est strictement réservée aux véhicules et protégée. Le personnel a lancé une vérification immédiate.
La direction a activé le protocole de sécurité et a aussitôt alerté la gendarmerie. Six militaires se sont rendus sur place pour sécuriser la zone et coordonner l’intervention. Selon des témoins, l’homme portait un tournevis et a déclaré vouloir réaliser un stage de survie au milieu des bêtes.
Par mesure de prévention, la plaine a été fermée au public. Les bisons peuvent atteindre 1 000 kg, ils sont puissants et imprévisibles. Le parc a agi pour couper tout risque de contact. La direction a rappelé la règle pour prévenir tout incident.
Pourquoi ce stage de survie a mis tout le monde en danger
Douze minutes après la première alerte, d’autres visiteurs ont signalé qu’il avait escaladé un mur. La fuite a été constatée alors que plusieurs familles étaient encore sur le circuit. Les équipes ont bouclé la zone et lancé des vérifications. Les témoins ont coopéré.
Les responsables ont levé le dispositif vers 16 heures après contrôle des lieux. Le parc a rouvert le circuit et a repris l’accueil du public. Aucun blessé n’a été recensé parmi les visiteurs présents. Le parc a informé rapidement les visiteurs. Le parc a expliqué le déroulé aux familles et répondu aux questions.
Tenter un stage de survie dans une zone réservée aux véhicules met en danger tous les usagers. Les règles interdisent formellement de circuler à pied dans le safari voiture. Le non-respect de ces règles expose à des poursuites et à des risques graves. La sécurité collective doit primer sur l’audace individuelle.
Éviter les idées dangereuses et protéger les visiteurs
L’homme n’a jamais été retrouvé, malgré une recherche soutenue. Six militaires ont inspecté les murs, les abords et les zones de fuite possibles. Les agents ont analysé les images des caméras et consigné de nombreux témoignages pour faciliter l’enquête.
Le circuit a rouvert vers 16 heures lorsque le parc a jugé la zone sûre. Après contrôles et vérifications, le personnel a informé et rassuré les visiteurs restés sur place. Aucune blessure n’a été signalée et le fonctionnement normal a repris. Le parc a annoncé qu’il renforcerait la signalisation.
Ce fait divers montre l’ampleur du danger : un stage de survie improvisé en pleine plaine de bisons expose à des conséquences graves. Les autorités rappellent l’interdiction de circuler à pied et envisagent des mesures pour mieux informer les publics et sanctionner les infractions. La prudence reste la règle.
Ce rappel nécessaire sur la sécurité et le respect des consignes en parc animalier
L’incident montre qu’une intention isolée suffit à perturber un parc et à créer un risque majeur. Les équipes et la gendarmerie ont limité l’impact. Il faut rappeler que la plaine des bisons n’est pas un terrain d’entraînement. Un stage de survie improvisé y mettrait en danger humains et animaux. La vigilance et le renforcement de la prévention restent indispensables.