Le calme d’un vol commercial a cédé la place à la gêne, quand deux passagers ont choisi les toilettes pour un moment intime. L’équipage a fait appel aux autorités, et l’intervention s’est faite dès l’atterrissage. Dans cette affaire impliquant EasyJet, un fantasme devenu spectacle rappelle que les règles à bord existent, justement, pour préserver la sécurité, le confort et le respect de tous.
À bord, EasyJet fait face à une scène gênante
Selon des témoins, le couple, trentenaire et visiblement ivre, a annoncé à voix haute son souhait d’entrer dans le « mile high club ». D’après capital.fr, les plaintes avaient déjà fusé avant l’embarquement, signe d’un comportement limite. À bord, la consommation d’alcool a continué, malgré l’offre d’un café proposée par un steward.
La passagère s’est dirigée vers les toilettes, puis a fait signe à son compagnon de la rejoindre. Le verrou a claqué et, très vite, des bruits explicites ont filtré, stupéfiant la cabine. Le personnel EasyJet, pris au dépourvu mais calme, a suivi la procédure interne, en documentant les faits pour la hiérarchie.
Comme l’indique Air Journal, le commandant a alerté les autorités locales pendant le vol Londres-Luton vers Alicante. À l’arrivée, la police espagnole a pris en charge le couple, sans incident supplémentaire. La compagnie a confirmé l’information et rappelé que la sécurité et le bien-être des passagers restent sa priorité absolue.
L’ivresse débouche sur des menottes et EasyJet applique sa procédure
L’équipage a limité le service d’alcool, a refusé des demandes répétées, puis a choisi l’apaisement. Le steward a proposé un café, solution simple pour calmer la situation. Malgré ces gestes, l’escalade a continué, alors l’équipe a contrôlé l’accès, a informé la cabine et a protégé les autres passagers.
Le commandant a coordonné les échanges avec le sol, conformément aux consignes. La priorité est restée claire, la sécurité et le bien-être de tous. Les faits ont été consignés pour aider la police à qualifier l’incident en « comportement perturbateur à bord » lors de l’atterrissage.
La compagnie EasyJet a confirmé l’événement et a rappelé sa politique ferme. Elle refuse tout comportement déplacé qui nuirait au confort, à l’ordre ou à la sûreté. La réponse a été mesurée et rapide, car un équipage bien formé anticipe les dérapages, puis agit avec méthode et calme.
Un précédent en 2023 relance le débat à bord
Un cas similaire a eu lieu en 2023 entre Luton et Ibiza. Un couple s’était enfermé dans les toilettes, résolu à passer outre les règles. Un steward avait ouvert la porte, les exposant à la vue des passagers, tandis que la cabine restait médusée par la scène.
À destination, la police attendait les protagonistes, comme dans l’affaire récente. La répétition de ces actes rappelle que le « mile high club » reste un fantasme, pas une permission. Les conséquences suivent, car un avion demeure un espace commun régi par des règles claires et constantes.
Chez EasyJet, ces épisodes servent d’avertissement utile à l’ensemble des voyageurs. La liberté a des bornes quand la sécurité engage chaque personne à bord. Un geste impulsif devient vite un dossier, puis un transfert aux autorités, alors autant choisir le respect pour éviter une fin de voyage amère.
Rappel ferme sur les limites acceptables en cabine aujourd’hui
Personne n’a vocation à subir les excès d’autrui dans un espace clos. L’épisode rappelle un principe simple : on voyage ensemble, donc chacun respecte les règles, sans exception. En agissant vite, EasyJet a protégé ses passagers et son équipage. Un vol reste un cadre commun, où l’intimité se gère avec discernement, afin que l’arrivée se fasse sans cris, sans honte, et sans menottes.