« Chez nous pas de passe-droit » : Les 3 enfants de Soprano inscrits dans des écoles publiques, le chanteur y tient fermement

Pas de passe-droit et une scolarité ordinaire pour des enfants ancrés dans la vie réelle

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Une règle simple s’applique à la maison : pas de raccourci, pas de privilège. Soprano assume un choix clair pour ses trois enfants et refuse tout passe-droit. Le succès reste à la porte de l’école, car la scolarité se vit au milieu de tous. Ce cap guide le quotidien familial. Il structure une éducation posée, calme, tournée vers l’effort plutôt que vers la facilité.

L’école publique comme boussole éducative selon Soprano

Dimanche 16 août 2025, entretien accordé à La Tribune dimanche raconte purepeople.com. Le coach revient bientôt sur TF1 avec The Voice Kids, retour annoncé le 30 août. Équipe remaniée avec Santa, M. Pokora et Patrick Fiori. Message central répété avec calme : les enfants restent à l’école publique, sans traitement spécial, malgré la notoriété.

À la maison, la règle tient en peu de mots : ils vont à l’école publique. Pas de passe-droit, pas de barrière entre vies. Dans leurs classes, certains ignorent même le métier du père, et c’est voulu. Le cadre ordinaire protège, apaise, aide à grandir loin du bruit médiatique.

« On les protège » résume le père, sans dramatiser. Le choix vise l’égalité des chances et nourrit la mixité sociale, donc l’apprentissage du collectif. Pour Soprano, la réussite pèse peu sans repères stables. L’école, terrain commun, installe des limites claires. Elle encourage l’effort et préserve une enfance normale.

Une famille soudée, entre épreuves et liens retrouvés

Le couple avance depuis près de vingt ans. Avec Alexia, il élève trois enfants : deux filles, Inaya et Luna, et un garçon, Lenny. Le foyer grandit sans perdre ses repères. Chaque enfant suit sa route à son rythme. La maison garde des règles simples et claires.

Un autre fils fait partie de l’histoire familiale. Né quand le père avait seize ans, cet enfant a grandi loin de lui, car il est né sous X. Placé à l’aide sociale à l’enfance par sa mère, il a vécu séparé. Le père a cherché, patiemment, puis l’a retrouvé.

Comment les enfants vivent-ils la notoriété ? La réponse reste concrète : la vie continue, l’école règle les horaires, la maison garde le rythme. Le quotidien dompte l’agenda, car la visibilité fluctue. Soprano préfère l’attention discrète et laisse le temps faire, plutôt que d’imposer des protections voyantes.

Des valeurs d’ouverture partagées par Soprano et son épouse

Artiste marseillais originaire des Comores, carrière longue, succès durable. Le chemin n’a pas évité les heures sombres, ni la dépression, mais l’équilibre revient avec le temps. L’ancrage familial sert d’appui, car la maison protège, tandis que le studio et la scène exigent une énergie constante. Le rythme s’accélère au fil des tournées.

Un oncle lui répète sans cesse qu’aucune histoire n’est toute blanche ou toute noire, car chaque parcours cache ses détours. Le conseil a fait son chemin. Son épouse, d’origine espagnole et italienne, a grandi dans une autre culture. Le couple s’est construit dans la nuance et l’ouverture.

Croire peut se vivre de mille façons, et aussi ne pas se vivre. La famille transmet cette tolérance, car l’essentiel se joue dans le respect et l’écoute. Soprano veut donner ces repères : curiosité, mesure, dialogue simple. Ces gestes comptent au quotidien. Les enfants apprennent la liberté, mais aussi la responsabilité.

Ce cap éducatif trace une route claire pour demain

Le principe posé reste net. L’école publique guide les apprentissages et ancre les enfants dans la vie réelle. L’égalité se vérifie chaque jour, au milieu des autres, car les règles valent pour tous. Dans cette cohérence, Soprano avance scène après scène. La famille garde le cap et transforme la notoriété en énergie utile, jamais en passe-droit.

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