Ces 3 yaourts sont déconseillés par le Dr Jimmy Mohamed – découvrez la meilleure alternative

Un cap concret pour mieux choisir au rayon frais sans culpabiliser ni exploser son budget quotidien

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Les rayons frais regorgent de choix, mais tous ne se valent pas. Certains produits très populaires cachent des compositions bien moins équilibrées qu’il n’y paraît. Le Dr Jimmy Mohamed attire l’attention sur trois références précises à éviter pour préserver une alimentation plus saine. Avant de faire votre prochain plein, découvrez quels yaourts méritent vraiment leur place dans votre réfrigérateur.

Pourquoi certains yaourts posent vraiment problème

D’après femmeactuelle.fr, en France, huit personnes sur dix en mangent régulièrement, selon le baromètre du CNIEL. Le PNNS recommande deux portions laitières par adulte chaque jour, trois pour les enfants. Cette base est utile, car elle guide les choix au quotidien, tout en rappelant que qualité, liste d’ingrédients et portions comptent autant que la quantité.

Le médecin a détaillé ces repères dans Le Mag de la Santé sur France 5, le 8 octobre 2025, puis sur Instagram. Il insiste sur la lecture d’étiquettes, car elle révèle le sucre ajouté, les arômes, ainsi que les agents texturants. Ces détails pèsent sur la satiété, l’énergie, mais aussi sur le risque métabolique, surtout quand ces produits deviennent le dessert systématique.

Premier écueil : les formats à boire. L’emballage promet calcium et absence de colorant, pourtant la densité sucrée explose. Pour 100 mL, on atteint 10 g de sucre, soit un niveau comparable à un cola. Le message est limpide : c’est du lait avec beaucoup de sucre. Mieux vaut garder ce type de douceur pour une envie rare.

Trois yaourts à bannir selon le médecin

Dans cette liste de yaourts à éviter, il pointe aussi les mousses liégeoises. Leur fiche révèle souvent une vingtaine d’ingrédients. Cette complexité masque additifs et agents technologiques. On y trouve des carraghénanes ; leur consommation est associée à une hausse du risque de diabète de type 2, selon lui. Le plaisir existe, mais le profil nutritionnel reste faible.

Viennent ensuite les crèmes-desserts chocolatées. Elles alignent plus d’une dizaine d’ingrédients et environ 20 g de sucre par pot. Cela représente trois morceaux, ce qui alourdit vite la journée. Le goût rassure, pourtant la charge sucrée reste élevée. L’ensemble coche la case “ultra-transformé”, avec un intérêt nutritionnel limité pour une collation courante.

Le marketing promet “source de calcium” et “sans colorant”, mais le sucre demeure la clé. Lire la ligne “glucides dont sucres” aide à trier. Les signaux utiles : portion raisonnable, liste courte, arômes discrets. Ces réflexes s’enseignent dès l’enfance, car ils réduisent les grignotages. Ils aident aussi à caler un goûter, sans dépasser les repères quotidiens.

Choisir mieux sans payer plus ni se priver

Le médecin recommande des options simples. Les yaourts grecs nature apportent des protéines et peu de sucre. Le skyr concentre autant de protéines, mais son prix peut grimper. Les petits-suisses offrent un bon ratio prix-qualité, car ils combinent texture, satiété et matières grasses modestes. Le plaisir reste là, tandis que la courbe de faim se stabilise.

Pour sucrer légèrement, il conseille un filet de miel ou une cuillère de confiture. Cette touche suffit, car elle limite l’excès. Les fruits frais ajoutent fibres et volume, donc ils améliorent la satiété. Pour les enfants, les compotes conviennent, si l’étiquette “sans sucre ajouté” apparaît clairement. Ce choix garde le goût, tout en maîtrisant l’apport global.

Autre réflexe utile : viser des listes très courtes. Lait, ferments, et c’est presque tout. Ce repère simplifie l’achat et réduit les additifs. Il aide à rester dans les repères du PNNS, sans calculs compliqués. L’idée centrale tient en une phrase : une portion simple coupe la faim, tout en respectant les besoins, et sans alourdir le budget.

Un cap simple pour des habitudes lactées vraiment plus saines

Le message du Dr Jimmy Mohamed ne diabolise rien, il hiérarchise. Évitez formats à boire, mousses liégeoises et crèmes chocolatées quand ils reviennent trop souvent. Orientez-vous vers des références courtes en ingrédients, puis ajustez avec un fruit, un miel léger ou une compote sans sucre ajouté. Ainsi, vous profitez des yaourts sans alourdir sucre, additifs ni dépenses.

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