Ce fruit est plus efficace que les pruneaux pour combattre la constipation, assure un gastro-entérologue

Le geste simple qui relance le transit sans laxatif et réconcilie digestion et énergie durablement

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Quand le transit se grippe, la gêne envahit le quotidien. Bonne nouvelle, une solution simple existe, validée par un spécialiste, et elle ne passe pas par les laxatifs. Elle tient dans un fruit que l’on néglige souvent. Avec quelques repères concrets et des gestes très accessibles, la régularité revient, l’esprit s’allège, et l’énergie suit. Voici comment agir, pas à pas, sans bouleverser vos habitudes.

Pourquoi ce fruit peut battre le pruneau

Selon topsante.com, la constipation est fréquente, mais sans gravité. Une femme sur trois y fait face, le transit féminin étant plus lent. Les causes dominent : peu de fibres, hydratation faible et activité réduite. Les déplacements cassent les routines. Un microbiote déséquilibré pèse aussi. Repérer ces facteurs oriente l’action.

Dans la plupart des cas, aucune maladie n’explique l’inconfort. Plutôt que des laxatifs, on corrige l’assiette. Plus de fibres soutient le microbiote, acteur du mouvement intestinal. Le corps répond vite quand la dose convient. L’équilibre se reconstruit pas à pas, sans rebond, et la régularité revient.

Ces fibres se gorgent d’eau dans l’intestin. Elles augmentent le volume des selles, les ramollissent, puis facilitent leur progression. Ce fruit s’inscrit dans cette stratégie. Il relance le rythme, tout en restant agréable. Un choix cohérent, simple à adopter, qui complète les gestes quotidiens et sécurise le confort.

Mode d’emploi gourmand avec ce fruit au petit-déjeuner

Le pruneau reste un réflexe. Sa dihydroxyphénylisatine stimule les contractions intestinales et facilite le passage. L’effet existe, cependant la tolérance varie. Selon le chirurgien londonien Karan Rajan, le kiwi fait mieux. Il s’intègre au matin, sans préparation longue ni changement compliqué.

On cite souvent sa vitamine C. L’atout clé reste ses fibres solubles. Elles attirent l’eau, forment un gel, puis adoucissent les selles. La fréquence des passages augmente, tandis que l’effort diminue. Le confort suit, la progression devient régulière. Le ventre se détend et la journée démarre mieux.

Comptez 3 g de fibres pour 100 g. Deux pièces pèsent environ 300 g, soit 9 g le matin. Ajoutez un café : ses polyphénols, prébiotiques, accélèrent la motilité. Avec ce fruit, la routine reste pratique. Un bol et une cuillère suffisent. Des gestes simples, répétés, qui donnent un vrai résultat.

Hydratation simple, alliée indispensable des fibres toute la journée

Les fibres ont besoin d’eau pour tenir leur promesse. Au contact de l’eau, elles gonflent et hydratent les selles. Ce fruit agit mieux quand l’apport hydrique suit. On vise la fluidité, pas la contrainte. Les sensations s’améliorent et l’abdomen reste souple.

Visez huit à dix grands verres par jour. Répartissez l’apport pour maintenir l’effet. Deux verres à chaque repas assurent la base. Deux verres le matin complètent, puis deux autres l’après-midi. Le corps préfère ces apports étalés. L’intestin travaille mieux et l’évacuation devient plus facile.

Le goût de l’eau ne plaît pas toujours. Des infusions aident, sans surcharge. Romarin et aloe vera ont un léger effet laxatif. On varie les tasses et on garde le rythme. Le confort se stabilise. Le tout reste doux et compatible avec les habitudes.

Dernier repère utile pour mieux relancer un transit paresseux

Éviter l’escalade des laxatifs, c’est protéger son équilibre. En misant sur l’assiette, l’hydratation et un repère simple, le résultat arrive. Ce fruit fait gagner en régularité, tandis que les fibres solubles et l’eau jouent ensemble. On garde l’écoute du corps, on maintient des gestes réalistes, et l’inconfort recule. Pas à pas, le transit se remet en route, durablement.

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