Un décor somptueux, une enfance à protéger, un cap assumé. Au Maroc, les caméras ont suivi Adriana Karembeu et sa fille, sans briser la bulle d’une petite de six ans. Le confort d’un palace ne suffit plus à répondre à ses besoins. Une nouvelle organisation se prépare, plus simple et plus saine, pensée pour son intimité. Le reste tient à une décision douce et ferme.
Pourquoi Adriana Karembeu change le quotidien de Nina
Dans 50’ inside diffusé samedi 5 juillet, les images du Palais Ronsard ont saisi une enfance entre désert et lumière. « On est dans le désert, là c’est canon. Trop trop beau. Il y a des chameaux », lance Nina, spontanée. La séquence pose le cadre, sans l’arracher à sa réserve, douce.
D’après gala.fr, âgée de six ans et demi, Nina est inscrite à l’American School of Marrakech. Elle parle anglais, apprend l’arabe cette année, et commencera l’espagnol l’an prochain. Le rythme scolaire s’ajuste à son âge. L’environnement international nourrit sa curiosité, sans forcer l’exposition publique ni bousculer ses repères au quotidien.
Ce cadre a une limite claire : l’intimité. Vivre au cœur d’un palace attire les regards et croise des inconnus à chaque couloir. Pour préserver l’enfance, Adriana Karembeu préfère poser des frontières. Rien de spectaculaire : juste un pas en arrière pour privilégier une vie simple, à taille d’enfant et plus apaisée.
Ce que veut protéger Adriana Karembeu avant tout
À 53 ans, l’ancienne top tombe la distance. Dans cette émission où elle avait déclaré son amour à Marc Lavoine, elle assume l’émotion : « Mon bébé, tu te rends compte ? Elle était dans mon ventre hier et maintenant elle fait du cheval. Je ne m’en remets pas ». Les mots restent simples.
Quand elle est à Marrakech, elle ne travaille pas. Elle se consacre uniquement à sa fille, crée des moments entiers, et compense les absences par une présence entière. Chaque séjour devient un rendez-vous attendu, construit sans agitation, avec des rituels qui sécurisent l’enfant et rassurent la mère à long terme.
Reste la douleur des départs. Elle dit l’impression de manquer des instants décisifs, et cette pensée pèse. D’où la décision d’ajuster le cadre de vie, sans bruit, pour le bien de l’enfant. Ici, Adriana Karembeu suit une boussole claire : stabilité, discrétion, et respect des besoins, sans mise en scène inutile.
Deux maisons pour une enfance plus sereine
Le choix est posé : Nina n’habitera plus à l’hôtel. Elle va vivre dans une maison, pour retrouver son intimité et un rythme d’enfant. Au palace, elle croise trop de personnes qu’elle ne connaît pas ; la maison protège ses repères, ses routines, et son espace personnel, loin des regards de passage.
Elle aura deux maisons. L’emplacement reste volontairement discret, afin de préserver la tranquillité et d’éviter les curiosités. Le message importe plus que l’adresse : grandir en sécurité, circuler entre deux foyers pensés pour elle, et trouver un équilibre simple, souple, qui respecte l’école, le temps libre et les amitiés déjà tissées.
Pas question d’abandonner le Palais Ronsard, géré avec l’ex-mari Aram Ohanian. Le lieu reste un succès et une trace à transmettre. Pour l’avenir, Adriana Karembeu y voit une sécurité pour sa fille. Elle l’a eue plus tard, alors elle construit un héritage solide et clair qui durera au-delà des saisons.
Ce choix intime dessine une nouvelle étape discrète et solide
Entre école, jeux et repères, la priorité est de préserver une enfance calme. La maison, puis la seconde, offriront un cadre plus simple, sans renier l’histoire du palace. Cette transition, décidée sans bruit par Adriana Karembeu, cherche l’équilibre juste : protéger aujourd’hui, préparer demain, et laisser grandir sans pression inutile. Avec des gestes concrets, la mère fixe une route claire, lisible, réconfortante.