A 85 ans, les caisses de Massimo Gargia sont quasi vides : « J’ai eu jusqu’à sept appartements, je n’en ai plus que deux »

Confidences d’un mondain qui refuse les faux-semblants et assume sa trajectoire sans chercher d’excuses inutiles

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Les projecteurs l’aiment encore, pourtant la lumière vacille. À 85 ans, Massimo Gargia assume une vie flamboyante devenue plus légère côté finances. L’aveu frappe, la fierté reste. Le goût des fêtes demeure, l’insouciance non. Entre panache et lucidité, il regarde son parcours sans détour. Les amis célèbres répondent présents, les comptes racontent autre chose. Cette fracture intime alimente un récit cash.

Vieillir sans filtre, confidences de Massimo Gargia

Invité en avril 2023 chez Jordan de Luxe sur C8, il dit haïr la vieillesse. Selon purepeople.com, il prend des tranquillisants et des somnifères. Jadis très beau, il se regarde au matin et se désole. L’idée de la mort l’angoisse. Sa parole reste directe, le masque mondain tombe.

Jusqu’à quarante ans, il filait les week-ends entre New York et Paris. L’énergie s’est retirée, la cadence n’est plus possible. « Je suis horrible », lâche-t-il, abrupt. Le regard ne ment pas, le miroir non plus. Dans ces aveux, Massimo Gargia pose un constat franc, sans embellir.

Il refuse la chirurgie esthétique lourde. L’anesthésie générale l’effraie, il ne veut pas céder. Les piqûres, il les accepte, tout en sachant que cela ne change pas tout. Il dit surtout se souvenir de ce qu’il fut. Gourou des trophées The Best, il préfère la scène à l’hôpital.

Carnet d’adresses et héritage mondain de Massimo Gargia

Ses fêtes servent d’exutoire et d’étendard. Son réseau va des Miss France aux stars d’Hollywood, jusqu’aux ex de présidents. En 2023, un journaliste de Gala visite son appartement. Des cadres montrent ses « maîtresses », murs et meubles compris. « Certaines m’ont trop aimé. D’autres, comme Garbo, non », confie Massimo Gargia.

Ivana, l’ex-femme de Donald Trump, meurt en 2022. Amie fidèle, puritaine et droite, elle ne supporte pas l’infidélité. Il lui conseille de ne pas divorcer, sans succès. Il juge Donald Trump pressé, avare d’affects et lassé. Dans ce milieu, il dit avoir vu tant de femmes céder au pouvoir.

Sa lucidité devient arme, l’ironie sa parade. Gianni Agnelli, patron de Fiat, l’aurait méprisé. Il lui prédit qu’il ne ferait rien et suggère le lit de sa sœur. « Je l’ai fait », répond-il, bravache. Le 20 août 2025 à Saint-Tropez, sa fête d’anniversaire rallume la scène.

Fortune dépensée, leçon apprise et popularité durable

« Les gens très riches sont cruels », lâche-t-il à Gala. Ils ne saluent plus l’homme ruiné. Parle-t-il de lui ? Il esquive, puis assume. Il a possédé sept appartements, il n’en garde que deux. Paris et Rome lui restent, il dit avoir tout dépensé. Il garde l’œil sec.

Dépenser sans compter l’a souvent perdu, mais il assume. En 2004, il rejoint La Ferme Célébrités sur TF1 pour 150 000 euros. Marié à Francine Crescent, ex-rédactrice en chef de Vogue, il finance alors son traitement contre Alzheimer. La télévision devient utile et change la donne.

Il garde la joie des salles pleines. Grâce à ce programme, il dit être devenu populaire. La bienveillance du public tient encore, vingt ans après. La visibilité reste, l’envie d’organiser revient. Le fil de sa vie avance, plus lent, plus clair. Dans ces aveux, Massimo Gargia choisit la vérité.

Équilibre entre panache, fragilité et regard sans détour

Ni repentir pesant ni nostalgie creuse, il choisit la franchise. Il accepte la lumière qui baisse, tout en gardant son goût pour la scène. Il simplifie sa vie, sans renoncer au style. Les proches restent, l’énergie se ménage. L’essentiel prend le dessus. Massimo Gargia reste debout, fier, conscient de ses limites et disponible pour la fête. Le temps passe, la légende demeure.

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