Roger Federer, à propos de ses enfants : « En ce qui concerne le tennis, l’un de mes garçons, Léo, dispute des tournois. Les autres sont un peu moins intéressés par ce sport, mais ils jouent tous »

Entre passion partagée et liberté préservée, une éducation sportive qui avance sans bruit ni pression

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Dès qu’il évoque ses enfants, Roger Federer parle d’énergie et d’équilibre. Leur enfance ne ressemble pas à la sienne, pourtant l’élan sportif reste intact. Il installe une routine simple, sans forcer le destin. Le plaisir guide le jeu, la curiosité nourrit l’effort et l’avenir reste ouvert. Cette vision apaise, tout en gardant l’envie.

Une transmission sportive au quotidien chez Roger Federer

La maison vit au rythme des raquettes, mais sans pression. Selon welovetennis.fr, l’un des garçons, Léo, s’aligne déjà en tournois, donc il goûte tôt à la compétition. Les autres jouent aussi, à leur cadence. La famille reste soudée autour du sport, car le jeu rassemble, structure les journées et entretient le lien.

Leur scolarité a souvent pris la forme d’un enseignement à domicile. La vie de voyage a modelé leurs repères, pourtant chacun a trouvé sa place. Les quatre enfants skient, et ils jouent au golf. Cette diversité les protège, car elle évite l’unique voie. Roger Federer défend cette liberté, puis il valorise l’envie.

Il ne promet rien, pourtant il encourage l’effort régulier. Les jumelles s’entraînent trois à quatre fois par semaine, alors la base technique progresse. Les garçons restent plus jeunes, mais ils affichent déjà l’étincelle. La route est longue. On ne gravit pas l’Everest en un jour, on avance pas à pas.

L’envie de progresser sans pression dans le temps

Le champion suisse connaît les étapes. Il rappelle que le goût du jeu précède le résultat. Il parle de patience, puisqu’une carrière se construit lentement. Les enfants aiment frapper la balle, donc l’essentiel est là. Le reste viendra, ou non.

Les jumelles montrent une assiduité remarquable avec leurs séances. Ce rythme cadre l’esprit, puis il consolide la confiance. Les garçons observent, imitent, testent. Léo découvre l’atmosphère des tournois, tandis que son frère affine ses gestes. Le niveau varie, pourtant l’envie demeure. Roger Federer veille à préserver cette flamme.

Il refuse d’écrire l’avenir à leur place. L’héritage inspire, mais il ne pèse pas. Le message est clair, celui de rester actifs, garder le plaisir et construire des repères sains. Le sport sert d’école, car il enseigne l’effort et la mesure. Chaque progrès compte, même discret. Les rêves grandissent au bon rythme.

Un quotidien de retraité organisé et curieux avec Roger Federer

Depuis sa retraite, le maestro ne s’ennuie pas. Il dort un peu moins, puisqu’il n’a plus l’excuse des matchs. Les journées commencent tôt, souvent par la salle de sport. Ensuite, il aide les enfants, les accompagne à l’école, puis il reprend ses projets. Il garde, lorsque c’est possible, une séance raquette en main.

La famille partage du temps en Suisse, tout en voyageant souvent. Ce mouvement nourrit l’ouverture, mais il appelle une vraie organisation. Les filles ont 15 ans, les garçons 10 ans. Le cadre reste simple, donc la logistique suit. Les priorités s’alignent : santé, école, cohésion. Roger Federer place ces piliers au centre.

Il avance aussi sur des projets créatifs, dont une collaboration avec Amazon. Il y consacre du temps et de l’énergie, sans perdre le fil familial. La discipline sportive nourrit sa méthode, tandis que la curiosité porte ses choix. Il l’a confié à la Gazzetta dello Sport, avec une sérénité lucide.

Une famille active qui avance loin des projecteurs

La famille grandit avec des repères clairs, portée par le plaisir du jeu. Les jumelles travaillent souvent et les garçons apprennent. Tout se fait sans hâte, car le chemin compte autant que le but. Roger Federer garde l’esprit ouvert, puis il protège l’envie.

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