À 110 ans, il savoure cette boisson tous les matins depuis des années pour rester en forme

Un centenaire révèle un rituel, une cuisine simple et des liens qui nourrissent l’énergie

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Chaque matin, un geste discret réveille son élan et fixe le cap. Rien d’extraordinaire en apparence, pourtant la constance change tout. Il suit une routine fidèle, privilégie la mesure, et garde l’esprit clair. Sa boisson s’inscrit dans ce cadre simple, sans promesse tapageuse. Il avance avec douceur, préfère l’utile, et refuse les effets d’annonce. Il choisit la clarté et une joie tranquille.

Un rituel simple : une boisson matinale qui porte loin

D’après marmiton.org, il s’appelle Vincent Dransfield et vient de fêter ses 110 ans. Ancien chef des pompiers volontaires du New Jersey, il vit seul. Sa maison compte trois étages, et il cuisine encore ses repas. Arrière-grand-père sept fois, il protège ses habitudes, utiles et concrètes. Il garde le pas sûr, sans précipitation.

Le service l’a façonné, dit-il sans détour. La caserne a nourri la sociabilité, l’esprit d’équipe et la vivacité. Veuf depuis 1992, il a préservé un réseau solide et attentif. « J’ai été très très très chanceux », répète-t-il, reconnaissant envers ses amis. Chaque échange nourrit la journée.

Sa boisson du matin, le café, reste un repère efficace et familier. Il l’aime sobre, à heure régulière, et sans excès. Les antioxydants et la caféine soutiennent la vigilance et la concentration. Il apprécie aussi la cuisine italienne maison, un peu de chocolat, et parfois une bière.

Des racines solides et une hygiène de vie cohérente

L’enfance à la ferme a laissé des traces solides et utiles. Il buvait du lait, mangeait simple, et travaillait sans compter. Il y retourne souvent, convaincu que ce socle a servi ses os. Ce cadre rustique a structuré le corps, l’esprit, et le caractère. Cette base l’accompagne, sans folklore ni nostalgie forcée.

Il ne suit pas de régimes spectaculaires, et cela lui va bien. Il cuisine, dose, et savoure sans rigidité ni culpabilité. Les plats maison guident ses choix, le dessert reste mesuré. Le chocolat garde sa petite place, sans envahir l’assiette ni l’humeur.

Dans cet ensemble, la boisson matinale trouve naturellement sa place. Le café aide à démarrer, à trier l’urgent, et à garder l’œil alerte. La mesure prime, l’écoute du corps décide la dose, et la patience. Rien d’extrême : un rythme régulier, et des priorités claires, au quotidien.

Boisson du matin, liens forts et joie de vivre

Son optimisme pèse lourd, bien au-delà des chiffres et des années. Il entretient l’humour, garde l’utilité comme boussole, et reste curieux. Les sorties se poursuivent, les échanges aussi, avec simplicité. La routine donne une structure, la souplesse évite l’ennui et fige les jours. Il sait aussi ralentir, quand le corps le suggère.

Le collectif a forgé son élan, le feu n’a pas tout dit. La caserne a donné des amis, des réflexes et un esprit d’équipe. La disparition de son épouse en 1992 n’a pas rompu ce fil. Il a maintenu le lien, partagé du temps, et continué de servir.

Il le résume ainsi : « Aimer fait vivre plus longtemps ». Sa boisson n’explique pas tout, et c’est la leçon. Le mouvement, l’affection et les repas simples se complètent sans bruit. De petits choix répétés, une mesure constante, et un quotidien clair.

Un message de vie active, sans recette magique à copier mot pour mot

Il n’exhibe pas de formule secrète, il donne un cap tranquille. Les chiffres attestent la rareté : soixante-huit supercentenaires seulement, dans le monde, selon Top Santé. À 110 ans, il vit chez lui, cuisine, et salue chaque matin sa boisson préférée. Rien de magique : des liens forts, des gestes utiles, et un cœur léger, jour après jour. La constance fait la base, et l’élan vient des autres.

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