C’est acté : les horaires des heures creuses vont changer en 2025, voici les nouveaux horaires officiels

Économiser sans effort en suivant les nouveaux repères horaires, optimiser ses usages au bon moment et préserver le réseau

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Les règles bougent et la nouvelle donne s’installe dès 2025. Le réseau s’ajuste, les usages suivent, et chacun devra revoir ses repères. La réforme des heures creuses promet plus de cohérence avec la production d’énergie et les saisons. Les changements seront progressifs. Le cadre est officiel. Les foyers concernés recevront des informations claires pour préparer la bascule, sans stress inutile.

Pourquoi les heures creuses évoluent et ce que cela implique

La Commission de régulation de l’énergie valide une évolution d’ampleur, affirme adcf.org. Elle vise un équilibre simple : consommer quand l’électricité abonde, et soulager le réseau quand la demande grimpe. La décision s’inscrit dans la transition énergétique, avec un cap lisible et des étapes claires.

Dès le 1ᵉʳ novembre 2025, une nouvelle organisation entre en service. Les créneaux matinaux et du soir disparaissent au profit d’une logique nuit-journée. Le dispositif s’adapte aux saisons, alors que l’été offre des excédents solaires. La modernisation reste progressive et calibrée.

Près de 14,5 millions de foyers sont concernés d’ici 2027. Le déploiement s’échelonne pour tenir compte des territoires et des contrats. L’objectif reste constant : efficacité réseau, facture mieux maîtrisée, confort préservé. Les fondations sont posées pour durer.

Nouveaux repères concrets pour planifier ses heures creuses

Chaque abonné bénéficie d’un bloc nocturne d’au moins cinq heures. Il se situe entre 23 h et 7 h, avec une plage continue pour les usages programmables. Lave-linge, ballon d’eau chaude et recharge peuvent tourner quand la demande baisse. Les habitudes restent possibles, avec des gains réels.

Autre pilier : une fenêtre en journée, surtout l’été, entre 11 h et 17 h. Elle valorise la production solaire, donc un kWh plus disponible. Les appareils fonctionnent alors quand l’énergie afflue. Cette logique soutient le réseau et réduit les pointes coûteuses.

Certains fournisseurs introduiront des tarifs saisonniers. L’hiver pourra renchérir certaines plages, car la demande explose. Il faudra comparer, ajuster, et viser les heures les plus attractives. Le cadre évolue, mais l’arbitrage reste simple : flexibilité, visibilité, économies.

S’adapter sans heurts : notifications, outils et bonnes pratiques

Enedis prévient au moins six mois avant la bascule. Le fournisseur complète l’alerte un mois avant. Chacun dispose ainsi du temps utile pour reprogrammer ses équipements et ajuster ses routines. L’information circule, la transition se fait sereinement.

En 2025, environ 11 millions de foyers voient leurs créneaux bouger. Les conseils sont concrets : départ différé, planification fine, suivi des courbes depuis l’application du fournisseur. La domotique aide aussi, car elle automatise les cycles aux bonnes heures.

Les détenteurs de panneaux photovoltaïques gagnent encore plus. Ils calquent la consommation sur la production locale. La recharge du véhicule électrique suit la même logique. À noter : une réforme supprime deux journées spéciales à compter de 2026. Elle s’additionne à ces ajustements sans en changer l’esprit.

Cap sur une facture maîtrisée et un réseau plus responsable

Le nouveau cadre privilégie l’énergie disponible et la sobriété aux heures utiles. Utiliser les heures creuses quand l’électricité afflue réduit la pression aux pointes. Les foyers y gagnent en clarté, puis en économies. Reste à comparer les offres, régler les programmations, et tirer parti des saisons. La flexibilité devient un réflexe simple, efficace et durable.

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