Après un passage aux « 12 coups de midi », un maire décroche le panneau d’entrée de son village et l’expédie à Jean-Luc Reichmann

Un geste malicieux transforme un passage télé en preuve d’existence qui fait sourire partout

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Quand un village décide de faire voyager sa pancarte, l’histoire prend un tour malicieux. Porté par l’élan d’un passage dans 12 coups de midi, un maire transforme une boutade télévisée en preuve bien concrète. Le panneau d’entrée s’en va, soigneusement emballé, vers Jean-Luc Reichmann. Entre fierté locale et clin d’œil, l’aventure joue la carte de la simplicité et capture l’attention.

Du clin d’œil TV au défi d’identité

Le 25 avril, Loïc Kennel, habitant de Haguenau en Alsace, se présente au jeu. Selon ladepeche.fr, il cite des communes du Bas-Rhin, dont Merkwiller-Pechelbronn et Oberdorf-Spachbach. Jean-Luc Reichmann s’amuse, interroge l’existence de ces noms à rallonge, et lance une scène légère. Le public rit, la région écoute, la graine est plantée.

Dans 12 coups de midi, l’échange amuse, mais il touche aussi l’orgueil bon enfant. Les mots voyagent, ainsi la blague franchit l’écran. On parle de toponymes, de sonorités, d’un parler qui accroche. Le trait reste doux, pourtant la question demeure. Le village veut répondre, sans heurt, par un geste aussi clair que gentil.

L’idée prend forme, alors chacun propose. On cherche un symbole qui dise “nous sommes là”. Un panneau vaut mieux qu’un long discours, donc l’évidence s’impose. La décision tombe, simple et nette. On fera partir le nom du village vers Paris, et on laissera l’humour faire le reste.

Quand 12 coups de midi déchaîne un élan viral

La séquence sort de l’écran et court sur les réseaux. Sur TikTok, l’extrait file et grimpe. Il dépasse 2,7 millions de vues. On partage pour le plaisir, mais aussi par fierté. Les commentaires s’alignent, les sourires aussi, et le souffle tient.

Le passage dans 12 coups de midi devient un mème bon enfant, donc un tremplin. La mairie et ses adjoints y voient l’occasion parfaite. Ils veulent un cadeau franc, très lisible, et facile à montrer. Le panneau d’entrée dit tout, car il résume le lieu. Une identité s’écrit noir sur blanc, avec humour.

Reste l’organisation, et le plan s’ajuste. On choisit un messager : le jeune Alsacien filmé sur le plateau. Il connaît la démarche, il assume le relais. Le trajet vers TF1 se prépare sans bruit. On sécurise l’envoi, on prévoit la remise, et on maintient l’effet de surprise.

Un panneau qui relie village et 12 coups de midi

Lundi 4 août, la décision se concrétise. Le maire, entouré de ses adjoints, dévisse le panneau d’entrée. Le métal quitte les boulons, la peinture capte la lumière. On protège la plaque, on veille sur chaque geste. Les habitants sourient. La scène reste simple, nette, et pleine d’adresse.

Le panneau part pour Paris et pour Jean-Luc Reichmann. L’objet devient une preuve d’existence, et un trait d’esprit. Le messager reçoit la charge, s’élance. La route fera le lien entre le studio et le bourg. La télévision rencontre la route nationale, et le sourire accompagne le voyage.

La séquence est filmée puis postée. Les réseaux retransmettent l’instant, donc l’histoire continue. Un village répond avec style, sans grand mot. Il montre qu’un nom compliqué vit très bien. La démonstration vient du terrain, née de 12 coups de midi, et chacun comprend le message.

Ce clin d’œil scelle un lien entre écran et campagne

Au-delà du buzz, le geste dit l’essentiel. Un nom, une langue, un accent forment une boussole. Tout tient dans une plaque qui part au bon endroit. La preuve s’offre au présentateur, et le village gagne une voix. Portée par 12 coups de midi, la fierté sourit, et le pays retient le clin d’œil. Le clin d’œil restera simple, mémorable, et terriblement efficace pour tous.

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