« Il bouscule toute la mécanique » : à 77 ans, un inventeur français dévoile en septembre 2025 un moteur sans vilebrequin qui promet de révolutionner l’industrie automobile et aéronautique

Une idée audacieuse qui redistribue les cartes et replace l’ingénierie française au cœur du jeu

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Il bouscule les certitudes et agite les bureaux d’études. À 77 ans, un inventeur français s’apprête à présenter, en septembre 2025, un moteur sans vilebrequin. L’idée paraît simple à dire, ambitieuse à réaliser. Remplacer une pièce reine par un mouvement direct et précis. Le gain visé tient en trois mots : rendement, fiabilité, sobriété. Les mois qui viennent diront comment cette approche redessine nos moteurs, au sol comme en vol.

Comment ce moteur sans vilebrequin convertit l’énergie sans pièces inutiles

Selon amios.fr, le cœur du dispositif marie aimants puissants et bobines pilotées. Le champ crée la rotation du rotor autour d’un stator compact. Aucune bielle, aucun maneton, aucun embiellage. Les liaisons mécaniques se simplifient, la chaîne cinématique se raccourcit. Le guidage reste précis, la course se contrôle au microseconde. Le tout libère de la place et limite les pertes parasites.

Cette architecture réduit les points de frottement et l’usure des paliers. La lubrification s’allège, les vidanges se raréfient. Le couple arrive tôt et reste linéaire, ce qui fluidifie l’accélération. L’électronique gère la phase, ajuste le flux et l’angle. « C’est une avancée majeure qui réduit la maintenance tout en augmentant l’efficacité », résume Jean Morel.

Les pertes thermiques chutent car le mouvement évite les renvois d’efforts. Le rendement grimpe quand les cycles deviennent réguliers. Les vibrations baissent, l’acoustique s’améliore, la longévité suit. Ce moteur sans vilebrequin diminue les frottements, donc l’énergie absorbée à vide. Les composants chauffent moins, les tolérances restent stables. Les tolérances stables sécurisent le contrôle qualité en série.

Pourquoi ce moteur sans vilebrequin change la donne pour route et ciel

Dans l’automobile, l’architecture compacte libère du volume pour batteries ou réservoirs. La masse baisse, ce qui réduit la consommation sur cycle. Le packaging devient simple, l’intégration se standardise. Les trains roulants reçoivent un effort plus net. La gestion thermique s’allège, ce qui facilite le dimensionnement des échangeurs.

L’aéronautique vise des systèmes fiables, légers et silencieux. La réduction des pièces tournantes limite les points de défaillance. Les vibrations décroissent, ce qui protège cellule et instruments. « Imaginez des avions et des voitures qui consomment moins, tout en restant silencieux et fiables », s’enthousiasme l’inventeur. Les pistes couvrent propulsion principale, auxiliaire et groupes de puissance.

L’environnement profite d’une dépense énergétique plus faible. Les émissions de CO2 reculent quand la traction demande moins d’efforts. Les normes se durcissent, les industriels adaptent leurs plates-formes. Grâce au moteur sans vilebrequin, ils gagnent en sobriété sans sacrifier la performance. La chaîne de valeur évolue, des fournisseurs aux ateliers, avec des coûts mieux maîtrisés.

Essais, retours de terrain et calendrier d’adoption

Le prototype a tourné chez AutoFuture, sous la houlette de Marie Duval. « Nous avons perçu son potentiel disruptif dès les premiers tours », dit-elle. Les équipes voient des gains immédiats sur des modèles actuels. Les gains ouvrent aussi la porte à des designs inédits, plus épurés.

Les bancs valident couples, rendements et endurance sur profils variés. Les simulations enchaînent altitudes, températures et poussières. L’équipe affine le moteur sans vilebrequin sous simulation et sur banc. Les résultats dictent les réglages de commande. Les résultats guident aussi les tolérances d’usinage pour la série. La feuille de route aligne essais, certification et industrialisation.

Le déploiement s’accompagne d’ateliers pour ingénieurs et techniciens. Les sessions expliquent montage, diagnostic et sécurité. Les partenaires préparent outillages et chaînes. Les cas d’usage visent fret, longues distances et missions spéciales. L’exploration spatiale reste en ligne de mire, sous contraintes strictes. Chaque étape sécurise des gains concrets, sans promesses creuses.

Ce pas décisif ouvre une nouvelle ère de propulsion

L’invention crée un raccourci entre énergie et mouvement utile. Les bénéfices se voient sur la route, en vol, et sur bilan carbone. La maintenance se simplifie, la disponibilité progresse, les coûts s’aplanissent. Ce moteur sans vilebrequin sert de levier à une mécanique plus sobre. Le signal est clair : place à l’efficacité, sans renoncer à la fiabilité.

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